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3 novembre 2006 5 03 /11 /novembre /2006 08:12
Henriette Chardak: "Kepler, le visionnaire de Prague"
Editeur:
Presses de la Renaissance (19 Mai 2004)
506 pages



«
Lorsque le découragement nous tient, ou que le dégoût nous rend paresseux, que les drames ensevelissent l'espoir, penser à Kepler redonne des couleurs à la vie. Son combat, pas toujours paisible, nous rappelle l'émerveillement inaltérable de l'enfance, la volonté d'aller au bout d'un pari ! »


Voici un très bon livre, accessible et enthousiasmant. C'est l'histoire de Johannes Kepler qui dans un XVIIème siècle cruel, superstitieux et en plein bouleversement, va révolutionner notre façon d'appréhender le monde. Mathématicien, astronome, philosophe, Kepler est l'archétype du génie universel. Ses découvertes sur la gravitation et le mouvement des planètes vont transformer notre vision du ciel.
Sous une forme romancée (mais pas trop quand même), Henriette Chardak nous plonge dans cette époque difficile, marquée par les guerres de religions. C'est donc un livre scientifique, historique et biographique à la fois. Ce qui est admirable chez Kepler, c'est son courage et sa ténacité. Il s'est battu toute sa vie pour faire avancer la vérité scientifique, au péril de sa vie, dans des conditions incroyablement difficiles. Sa mère (simple guérisseuse) a failli être brûlée vive comme sorcière; sa famille a vécu dans des conditions lamentables; lui-même a souvent été menacé pour ses travaux jugés "hérétiques et révolutionnaires".
Ce livre est  passionnant d'un bout à l'autre.
Comme Marie Curie, ce génie mérite d'être redécouvert, lu et enseigné.



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16 octobre 2006 1 16 /10 /octobre /2006 14:38
Frederick Douglass
Mémoires d'un esclave
172 pages
Editeur: Lux


Frederick Douglass
est le premier esclave noir devenu homme politique, philosophe et écrivain. Né en 1817 dans une plantation de l'Etat du Maryland, il devint au XIXe siècle la plus éminente figure noire de l'abolitionnisme aux Etats-Unis.
Cet ouvrage est le récit de sa vie d'esclave et de ses combats contre l'oppression, dont l'élément déclencheur n'est pas anodin : l'apprentissage de la lecture. "
Si tu enseignes
à ce nègre à lire, il n'y aura plus moyen de le tenir. Cela le rendra à jamais inapte à l'esclavage". Et Douglass, enfant, comprend vite ce qui pourra le libérer de son maître: "Ce qu'il redoutait le plus était ce que je désirais le plus. Ce qu'il aimait le plus était ce que je haïssais le plus. Ce qui, pour lui, était un grand malheur à éviter prudemment, était, pour moi, un grand bien à rechercher avec application; et l'argument qu'il fit valoir si vivement contre le fait que j'apprenne à lire ne servit qu'à m'inspirer le désir et la résolution d'apprendre."
C'est un livre indispensable parce qu'il relate de façon quasi ethnographique et loin des clichés la vie quotidienne dans les plantations du sud des Etats-Unis au XIXe siècle. Ce qui frappe aussi, c'est que Douglass subit des épreuves horribles (vraiment) mais parvient néanmoins à se libérer au fur et à mesure de ses chaînes
physiques et mentales. Son style est vif et précis, les faits rapportés sont décrit avec force, justesse et talent. Ce livre, bien plus qu'un simple témoignage, est une profonde réflexion sur la justice, le courage et le militantisme.
Frederick Douglass et Martin Luther King font partie de ces héros américains qui ont consacré leur vie entière à la conquête de la liberté et de la dignité humaine.

"Toute l'histoire des progrès de la liberté humaine démontre que chacune des concessions qui ont été faites à ses nobles revendications ont été conquises de haute lutte. Là où il n'y a pas de lutte, il n'y a pas de progrès. Ceux qui professent vouloir la liberté mais refusent l'activisme sont des gens qui veulent la récolte sans le labour de la terre, la pluie sans le tonnerre et les éclairs: ils voudraient l'océan, mais sans le grondement terrible de toutes ses eaux". F.Douglass


Dos de couverture:
Il y a deux siècles, nombreux étaient ceux qui considéraient l'esclavage, cette "institution particulière", comme une chose acceptable, morale, voire tout à fait normale. Face à tant de cruauté, d'injustice et d'impunité, des voix se sont élevées, aux Etats-Unis et dans le monde entier. Aujourd'hui, plus personne ne pense que l'esclavage est une bonne chose. Publier ces Mémoires d'un esclave, c'est non seulement travailler contre l'oubli et la banalisation des luttes, mais c'est aussi une manière de rappeler que, au milieu d'un océan de phénomènes tenus pour acceptables, moraux, voire tout à fait normaux (capitalisme sauvage, exploitation des humains et de l'environnement, course aveugle au profit), il n'est pas vain de résister.

Hommage à Frederick Douglass, après sa mort, en 1896
 
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15 octobre 2006 7 15 /10 /octobre /2006 11:13
"Je me sentais très bien hier, la preuve, j'ai mangé des tas de caramels, de bonbons, de gâteaux, de frites et de glaces, et, dans la nuit, je me demande pourquoi, comme ça, j'ai été très malade (...)"

C'est peut-être le moment de (re)lire Le petit nicolas ?
En bonus, les merveilleux desins de Sempé.

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28 septembre 2006 4 28 /09 /septembre /2006 11:16

Dans la France des années 30, des membres de la haute société, réunis pour une partie de chasse en Sologne, se jouent une comédie des sentiments qui se résout tragiquement.
Tourné à la veille de la Seconde Guerre mondiale, La Règle du jeu décontenança par sa noirceur et sa modernité. Il est vrai que Renoir, à travers un tragique chassé-croisé amoureux, y brosse un tableau au vitriol de la société française de la fin des années trente.
Sifflé par le public et mutilé par la censure, le film maudit de Renoir s'est depuis fait une place de choix dans le panthéon des classiques français ("le film des films" selon Truffaut).
Renoir aborde dans ce film les thèmes du mensonge, de la vanité et des apparences. Il critique une société qui ne veut pas voir la réalité et qui vit dans un monde d'illusion (à lire aussi dans le même esprit la nouvelle de Poe, le masque de la mort rouge).
En fait, c'est un film sur le changement, ou plutôt sur l'incapacité de changer. Les personnages sont pris dans un engrenage, dans un système qui les amène doucement au suicide. Ce film peut paraître pessimiste, comme pourraient le paraître les tragédies de Shakespeare, mais ce n'est pas le cas (chez l'un et chez l'autre). On sent chez Renoir une sympathie évidente pour ses personnages. Renoir croit en l'homme et en sa capacité de changer. Il veut alerter les consciences. C'est donc un film "politique" où Renoir tend un miroir à la société française et lance un appel au changement, au courage et à l'engagement. Il nous demande de ne pas suivre "la règle du jeu".

"Je l’ai tourné entre Munich et la guerre et je l’ai tourné absolument impressionné, absolument troublé par l’état d’une partie de la société française, d’une partie de la société anglaise, d’une partie de la société mondiale. Et il m’a semblé qu’une façon d’interpréter cet état d’esprit du monde à ce moment était précisément de ne pas parler de la situation et de raconter une histoire légère, et j’ai été chercher mon inspiration dans Beaumarchais, dans Marivaux, dans les autres classiques de la comédie." Jean Renoir


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28 septembre 2006 4 28 /09 /septembre /2006 10:44
Aujourd'hui, deux livres qui vont vous faire aimer (encore plus) la langue française:

Le premier, Turlupinades et tricoteries, dont je m'inspire pour mes quelques gaudisseries, est une véritable boîte à trésors de mot désuets (prononcer "déssuets"), de mots oubliés et jubilatoires.
Description de l'éditeur:
Croquignole, pasquinade, mirliflore, paltoquet, songe-malice, zinzolin... autant de mots, savoureux et colorés, dont la langue d'aujourd'hui a oublié les vertus évocatrices. Regrettant fort de voir délaissés des mots d'aussi bonne compagnie, Alain Duchesne et Thierry Leguay sont allés à leur recherche dans les dictionnaires d'antan comme le Littré et le Nouveau Larousse illustré (publié de 1897 à 1904). Ils en offrent ici un choix, affectif et sensuel, sonore, poétique ou cocasse, assorti des citations d'auteurs qui en ont fait leur miel. Cette promenade rétro et insolite s'accompagne de pittoresques gravures anciennes, illustrant des réalités disparues comme l'indispensable bigotelle, servant à maintenir la moustache relevée durant la nuit ! Un dictionnaire malicieux qui traite avec justesse toute une cartographie celle de l'évolution des mœurs et des mentalités dont témoignent aussi les mots perdus... et ici retrouvés.

Auteurs: Alain Duchesne et Thierry Leguay
286 pages, 10 euros
Editeur : Larousse



Le second livre, 500 jeux avec les mots, est un dictionnaire original et savoureux pour passer maître, en s'amusant dans les figures de style, les procédés littéraires, les jeux de mots et des lettres. Très clair, bourré de citations exquises, ce livre enchantera les petits et les grands.
Description de l'éditeur:
De Abécédaire romancé à Zeugma, ce dictionnaire ludique de 110 entrées répertorie jeux de mots (Calembour, Glossolalie...), jeux de lettres (Epellations, Rébus...), procédés littéraires (Anaphore, Euphémisme, Hyperbole...), ainsi que des applications plus inattendues (Carte postale, Menu, Petite annonce...) pour se distraire ! Plus de 500 jeux (et leurs solutions), à pratiquer seul ou en société, invitent à découvrir des trésors cachés sous les mots qu'on peut aligner dans un abécédaire romancé (" Arnaud buvait constamment des eaux-de-vie frelatées... "), bouleverser par l'anagramme (il y a du Tourteau chez le Tatoueur!), lier étrangement avec le zeugma (" l'un prit une anisette, l'autre la mouche ! "), compléter avec le bouche-trou... Des milliers de citations d'auteurs aussi variés qu'Alphonse Allais, Honoré de Balzac, Blaise Cendrars, Pierre Dac, Pierre Desproges, Raymond Devos, Serge Gainsbourg, Victor Hugo, Georges Perec, Arthur Rimbaud, Renaud, Louise de Vilmorin..., avec lesquels vous pouvez rivaliser.

Auteurs: Thierry Leguay et Laurent Raval
415 pages, 20 euros
Editeur : Larousse
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24 juillet 2006 1 24 /07 /juillet /2006 19:27
L'histoire: A Varsovie, en 1939. Au théâtre, une troupe répète la pièce Gestapo avec les deux vedettes Joseph et Maria Tura. Bien que très amoureuse de son mari, Maria se laisse courtiser par le charmant lieutenant d’aviation Sobinski qui la rejoint tous les soirs lors de la représentation d’Hamlet, pendant que Joseph attaque le grand monologue "To be or not to be". La guerre éclate ; Sobinski est envoyé à Londres d’où il essaye de faire parvenir un message à Maria par l’entremise du professeur Siletzky, qui s’avère être un espion nazi sur le point de transmettre des documents capitaux à la Gestapo. Cet incident va précipiter la troupe d’acteurs, les Tura en tête, dans une suite de périlleuses aventures.

C'est une comédie (une satire ici) comme seul Lubitsch sait les réaliser: avec finesse, ironie, légèreté et beaucoup d'humour. Sous un vernis de vaudeville ou de farce, c'est un film engagé politiquement et très personnel (il a été tourné en 1942 au moment ou Hollywood tournait beaucoup de films de propagande anti-nazi). Ici, le but de Lubitsch est de parler de choses graves et sérieuses sur le mode comique et satirique.
Toutes (ou presque) les comédie de Lubitsch sont bonnes, légères et piquantes comme des bulles de champagne. Il nous prouve que le cinéma peut nous faire rire et nous faire réfléchir en même temps. Chez lui, pas de vulgarité, de pipi-caca, de cynisme ou d'humour glauque.
Si vous ne le connaissez pas, foncez!

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16 juillet 2006 7 16 /07 /juillet /2006 10:25
Titre original: The man who shot Liberty Valance.
L'histoire: Un sénateur (
James stewart) débarque incognito à Shinbone pour assister à l’enterrement d’un mystérieux inconnu : Tom Doniphon (John Wayne). Pressé par les journalistes locaux d’expliquer les raisons de sa venue et d’éclaircir les lecteurs sur ce Doniphon, le sénateur Ranse Stoddard revient avec émotion sur les événements qui firent sa carrière des années auparavant, lorsqu’il essaya de débarrasser Shinbone d’un dangereux gangster : Liberty Valance (Lee Marvin).

Ce film, réalisé en 1959, n'est pas un western comme les autres. John ford nous raconte avec brio l'histoire d'un changement: celui de l'ouest américain sauvage et barbare qui peu à peu se civilise, s'éduque et s'industrialise. C'est une réflexion profonde sur l'histoire des Etats-Unis, mais Liberty Valance est aussi un film éminemment politique: étude au scalpel de l’histoire législative des Etats-Unis, ce film est une variation sur le melting pot, grâce notamment à une scène d’éducation civique simple et émouvante regroupant des restaurateurs suédois, cinq ou six enfants mexicains et un métayer noir autour de la Constitution Américaine et d’un James Stewart qui n’est alors pas sans rappeler les John Doe ou Mr Smith (Capra) de sa jeunesse. Bref, on retrouve dans ce film tout l'esprit humaniste et optimiste de john ford.
Les acteurs principaux sont tous excellents, la photographie magnifique, les cadrages superbes. Un chef d'oeuvre!
PS: Vous y verrez les plus beaux steaks de toute l'histoire du cinéma!
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16 juillet 2006 7 16 /07 /juillet /2006 10:20
Nasr Eddin Hoja, héros légendaire qui aurait vécu en Turquie au XIIIème siècle, est célèbre dans tout le monde musulman. Il est l'incarnation même de l'irrévérence et de la subversion. A savourer par petites bouchées gourmandes.
Voici les références pour vous procurer les histoires du "fou qui était sage", disponibles dans toutes les bonnes librairies. Bonne lecture !


"
Sublimes paroles et idioties de Nasr Eddin Hodja" - éditions "Phébus" - poche - 637 pages.

Quelques aventures de Nasr Eddin: cliquez ici, ou .

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9 juillet 2006 7 09 /07 /juillet /2006 16:16
Quand le spectacle affligeant des hommes politiques devient insupportable, il est bon de se replonger dans les écrits (discours, biographies..) des grands hommes. Ces vies exemplaires peuvent nous aider à fixer un cap, un idéal pour la société de demain. Ces lectures redonnent courage et confiance en la capacité de l'homme de changer le monde, de "rallumer tous les soleils". Je pense ici à Jaurès, Blum, Mendès, De Gaulle, Franklin Roosevelt, Martin Luther king, Gandhi, Lumumba...et il y en d'autres.

Voici la référence d'un livre indispensable : "Jaurès, Rallumer tous les soleils", 960 pages, Presses de la Cité (19 Jan 2006), 28 euros.

Dos de couverture:
Un recueil pour redécouvrir, à travers discours, articles, écrits divers, la pensée vivace, claire comme un ruisseau du Tarn, d'un grand homme politique, un intellectuel vrai, un tribun sans pareil, ce jean Jaurès, assassiné le 31 juillet 1914, qui hante les sommets de notre mémoire collective, là où, disait le général de Gaulle, il n'y a pas d'encombrements.
Certains des textes ici réunis répondent avec une intensité insoupçonnée à des interrogations d'aujourd'hui - sur la question religieuse, la laïcité, l'engagement colonial ou la justice, cette exigence suprême qui suffira à rallumer tous les soleils ". A l'aube du XXIe siècle, à l'heure des bilans et de la recherche d'horizons nouveaux, le moment semble venu de reconsidérer une pensée moins réformiste et débonnaire qu'on ne le croit, généreuse et pugnace, attentive à la société civile en mouvement, à l'air du temps si changeant, appelant à développer le sens critique, à lire le réel, à dire le vrai pour libérer enfin les forces vives de l'humanité - et réhabiliter le politique. " Le courage, c'est de chercher la vérité et de la dire, c'est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe et de ne pas faire écho contre son âme aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques. "
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26 juin 2006 1 26 /06 /juin /2006 08:18
L'Andalousie arabe : Une culture de la tolérance, VIIIe-XVe siècle, de Maria Rosa Menocal.
Éditeur : Autrement (6 mai 2003)
Collection : Mémoires
244 pages


Saviez-vous qu'à Cordoue, le grand vizir (sorte de 1er ministre) du premier prince Omeyade autoproclamé calife de tous les musulmans était de confession juive ? Saviez-vous que Cordoue comptait des milliers de bibliothèques et que la principale d'entre-elles réunissait plus de 600 000 manuscrits?
Voici un livre indispensable. Alors que quelques fous-furieux adeptes de la théorie du "choc des civilisations" voudraient nous faire croire qu'il existe des raisons historiques à une guerre "Orient-Occident", cet ouvrage sur l’Andalousie médiévale (al-Andalous) dresse une représentation du métissage harmonieux des trois grandes religions monothéistes, juive, musulmane et chrétienne. Il ne s’agit pas de pacifisme béat mais de débats et de dialogues entre ces cultures. Cette civilisation riche et prospère, « joyau du monde », constitue un héritage essentiel de notre culture commune qui redessine du coup les contours du monde occidental. L’approche de Menocal, est originale en ce qu’elle allie la rigueur d’un travail universitaire et la puissance d’évocation d’un texte littéraire: le récit très vivant est construit d’après des motifs ou "figures remarquables" et s’adresse ainsi à un public très large.
Le rayonnement de cette civilisation et les relations qu'elle développa avec l'Europe et le Bassin méditerranéen se trouvèrent stoppées par la montée de l'intolérance religieuse, l'avènement de la peste noire; dans une violence extrême, les autodafés marquèrent la destruction des trésors d'al-Andalus.
Vraiment très instructif.
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