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8 avril 2007 7 08 /04 /avril /2007 06:18
Joyeuses Pâques!   Rembrandt, Jésus dans le jardin de Gethsémané, 1657

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Alors Jésus leur dit : Je serai pour vous tous, cette nuit, une occasion de chute ; car il est écrit : Je frapperai le berger, et les brebis du troupeau seront dispersées .
Mais, après que je serai ressuscité , je vous précèderai en Galilée.
Pierre, prenant la parole, lui dit : Quand tu serais pour tous une occasion de chute , tu ne le seras jamais pour moi .
Jésus lui dit : Je te le dis en vérité, cette nuit même, avant que le coq chante , tu me renieras trois fois.
Pierre lui répondit : Quand il me faudrait mourir avec toi, je ne te renierai pas. Et tous les disciples dirent la même chose.
Là-dessus, Jésus alla avec eux dans un lieu appelé Gethsémané, et il dit aux disciples : Asseyez-vous ici, pendant que je m'éloignerai pour prier .
Il prit avec lui Pierre et les deux fils de Zébédée, et il commença à éprouver de la tristesse et des angoisses.
Il leur dit alors : Mon âme est triste jusqu'à la mort; restez ici, et veillez avec moi.
Puis, ayant fait quelques pas en avant , il se jeta sur sa face, et pria ainsi : Mon Père, s'il est possible, que cette coupe s'éloigne de moi ! Toutefois, non pas ce que je veux , mais ce que tu veux.
Et il vint vers les disciples, qu'il trouva endormis , et il dit à Pierre : Vous n'avez donc pu veiller une heure avec moi !
Veillez et priez , afin que vous ne tombiez pas dans la tentation; l'esprit est bien disposé, mais la chair est faible.
Il s'éloigna une seconde fois , et pria ainsi : Mon Père, s'il n'est pas possible que cette coupe s'éloigne sans que je la boive , que ta volonté soit faite !
Il revint , et les trouva encore endormis ; car leurs yeux étaient appesantis .
Il les quitta , et, s'éloignant , il pria pour la troisième fois, répétant les mêmes paroles.
Puis il alla vers ses disciples, et leur dit : Vous dormez maintenant, et vous vous reposez ! Voici , l'heure est proche , et le Fils de l'homme est livré aux mains des pécheurs.
Levez-vous , allons ; voici , celui qui me livre s'approche.
Matthieu, 26, 31-46

Rembrandt, Pilate devant le peuple avec Barrabas et Jésus, 1655


Jésus comparut devant le gouverneur. Le gouverneur l’interrogea, en ces termes : Es-tu le roi des Juifs ? Jésus lui répondit : Tu le dis.
Mais il ne répondit rien aux accusations des principaux sacrificateurs et des anciens.
Alors Pilate lui dit : N’entends-tu pas de combien de choses ils t’accusent ?
Et Jésus ne lui donna de réponse sur aucune parole, ce qui étonna beaucoup le gouverneur.
À chaque fête, le gouverneur avait coutume de relâcher un prisonnier, celui que demandait la foule.
Ils avaient alors un prisonnier fameux, nommé Barabbas.
Comme ils étaient assemblés, Pilate leur dit : Lequel voulez-vous que je vous relâche, Barabbas, ou Jésus, qu’on appelle Christ ?
Car il savait que c’était par envie qu’ils avaient livré Jésus.
Pendant qu’il était assis sur le tribunal, sa femme lui fit dire : Qu’il n’y ait rien entre toi et ce juste ; car aujourd’hui j’ai beaucoup souffert en songe à cause de lui.
Les principaux sacrificateurs et les anciens persuadèrent à la foule de demander Barabbas, et de faire périr Jésus.
Le gouverneur prenant la parole, leur dit : Lequel des deux voulez-vous que je vous relâche ? Ils répondirent : Barabbas.
Pilate leur dit : Que ferai-je donc de Jésus, qu’on appelle Christ ? Tous répondirent : Qu’il soit crucifié !
Le gouverneur dit : Mais quel mal a-t-il fait ? Et ils crièrent encore plus fort : Qu’il soit crucifié !
Pilate, voyant qu’il ne gagnait rien, mais que le tumulte augmentait, prit de l’eau, se lava les mains en présence de la foule, et dit : Je suis innocent du sang de ce juste. Cela vous regarde.
Et tout le peuple répondit : Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants !
Alors Pilate leur relâcha Barabbas ; et, après avoir fait battre de verges Jésus, il le livra pour être crucifié.
Matthieu, 27, 11-26

Rembrandt, Les trois croix, 1653


Depuis la sixième heure jusqu’à la neuvième, il y eut des ténèbres sur toute la terre.
Et vers la neuvième heure, Jésus s’écria d’une voix forte : Éli, Éli, lama sabachthani ? c’est-à-dire : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?
Quelques-uns de ceux qui étaient là, l’ayant entendu, dirent : Il appelle Élie.
Et aussitôt l’un d’eux courut prendre une éponge, qu’il remplit de vinaigre, et, l’ayant fixée à un roseau, il lui donna à boire.
Mais les autres disaient : Laisse, voyons si Élie viendra le sauver.
Jésus poussa de nouveau un grand cri, et rendit l’esprit.
Et voici, le voile du temple se déchira en deux, depuis le haut jusqu’en bas, la terre trembla, les rochers se fendirent,
les sépulcres s’ouvrirent, et plusieurs corps des saints qui étaient morts ressuscitèrent.
Étant sortis des sépulcres, après la résurrection de Jésus, ils entrèrent dans la ville sainte, et apparurent à un grand nombre de personnes.
Le centenier et ceux qui étaient avec lui pour garder Jésus, ayant vu le tremblement de terre et ce qui venait d’arriver, furent saisis d’une grande frayeur, et dirent : Assurément, cet homme était Fils de Dieu.
Il y avait là plusieurs femmes qui regardaient de loin ; qui avaient accompagné Jésus depuis la Galilée, pour le servir.
Parmi elles étaient Marie de Magdala, Marie, mère de Jacques et de Joseph, et la mère des fils de Zébédée.
Matthieu, 27, 45-56

Rembrandt, La grande descente de croix, 1633


Le soir étant venu, arriva un homme riche d’Arimathée, nommé Joseph, lequel était aussi disciple de Jésus.
Il se rendit vers Pilate, et demanda le corps de Jésus. Et Pilate ordonna de le remettre.
Joseph prit le corps, l’enveloppa d’un linceul blanc,
et le déposa dans un sépulcre neuf, qu’il s’était fait tailler dans le roc. Puis il roula une grande pierre à l’entrée du sépulcre, et il s’en alla.
Marie de Magdala et l’autre Marie étaient là, assises vis-à-vis du sépulcre.
Matthieu, 27, 57-61

Rembrandt, Le repas d'Emmaüs, 1648


Et voici, ce même jour, deux disciples allaient à un village nommé Emmaüs, éloigné de Jérusalem de soixante stades ;
et ils s’entretenaient de tout ce qui s’était passé.
Pendant qu’ils parlaient et discutaient, Jésus s’approcha, et fit route avec eux.
Mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître.
Il leur dit : De quoi vous entretenez-vous en marchant, pour que vous soyez tout tristes ?
L’un d’eux, nommé Cléopas, lui répondit : Es-tu le seul qui, séjournant à Jérusalem ne sache pas ce qui y est arrivé ces jours-ci ?
Quoi ? leur dit-il. Et ils lui répondirent : Ce qui est arrivé au sujet de Jésus de Nazareth, qui était un prophète puissant en œuvres et en paroles devant Dieu et devant tout le peuple,
et comment les principaux sacrificateurs et nos magistrats l’ont livré pour le faire condamner à mort et l’ont crucifié.
Nous espérions que ce serait lui qui délivrerait Israël ; mais avec tout cela, voici le troisième jour que ces choses se sont passées.
Il est vrai que quelques femmes d’entre nous nous ont fort étonnés ; s’étant rendues de grand matin au sépulcre
et n’ayant pas trouvé son corps, elles sont venues dire que des anges leur sont apparus et ont annoncé qu’il est vivant.
Quelques-uns de ceux qui étaient avec nous sont allés au sépulcre, et ils ont trouvé les choses comme les femmes l’avaient dit ; mais lui, ils ne l’ont point vu.
Alors Jésus leur dit : O hommes sans intelligence, et dont le cœur est lent à croire tout ce qu’ont dit les prophètes !
Ne fallait-il pas que le Christ souffrît ces choses, et qu’il entrât dans sa gloire ?
Et, commençant par Moïse et par tous les prophètes, il leur expliqua dans toutes les Écritures ce qui le concernait.
Lorsqu’ils furent près du village où ils allaient, il parut vouloir aller plus loin.
Mais ils le pressèrent, en disant : Reste avec nous, car le soir approche, le jour est sur son déclin. Et il entra, pour rester avec eux.
Pendant qu’il était à table avec eux, il prit le pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna.
Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent ; mais il disparut de devant eux.
Et ils se dirent l’un à l’autre : Notre cœur ne brûlait-il pas au dedans de nous, lorsqu’il nous parlait en chemin et nous expliquait les Écritures ?
Se levant à l’heure même, ils retournèrent à Jérusalem, et ils trouvèrent les onze, et ceux qui étaient avec eux, assemblés
et disant : Le Seigneur est réellement ressuscité, et il est apparu à Simon.
Et ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu au moment où il rompit le pain.
Luc, 24, 13-35

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commentaires

B
<br /> Bonjour,<br /> <br /> <br /> J' ai l' honneur de vous demander l' autorisation de visuel pour la peinture : la passion du Christ selon Rembrandt " le Christ au mont des Oliviers " en vue d' une édition.<br /> <br /> <br /> Je me tiens à votre disposition pour vous fournir au besoin des renseignements complémentaires.<br /> <br /> <br /> Dans l' attente, veuillez recevoir mes salutations respectueuses.<br /> <br /> <br /> Michel Bouzat<br /> <br /> <br /> 0565425398<br />
Répondre
K
<br /> <br /> Monsieur,<br /> <br /> <br /> nous ne sommes pas propriétaire des droits de cette image, que nous avons trouvé sur le réseau.<br /> <br /> <br /> Libre à vous de vous en servir.<br /> <br /> <br /> Meilleures salutations,<br /> <br /> <br /> Jean-Gabriel Mahéo<br /> <br /> <br /> <br />
R
Amen again!Bonne idée, on révise le testament avec Rembrandt. Ca me va.Rémy
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J
Amen
Répondre