8 octobre 2006
7
08
/10
/octobre
/2006
12:03
Parce qu'il n'y a pas que Nasr Eddin dans la vie, tournons-nous vers de délicieuses plaisanteries et de savoureux proverbes Yiddish.
Tiré du livre Les joies du Yiddish de Léo Rosten.
Oystèr: de l'hébreu ostar, trésor
Peut aussi être utilisé ironiquement, la preuve:
Spitzer, qui vend des hot-dogs, est accosté par un ami:
- Comment vont les affaires?
- Pas trop mal, dit Spitzer. J'ai déjà mis de côté mille dollars à la banque.
- Dans ce cas, dit l'ami, peut-être pourrais-tu me prêter cinq dollars?
- Je ne suis pas autorisé.
- Qu'est-ce que tu veux dire par "pas autorisé"?
- Ecoute, j'ai passé un accord avec la banque en face. Ils sont d'accord pour ne pas vendre de hot-dogs; et moi, j'ai promis de ne pas prêtrer d'argent !
Celle-là, elle est pas très subtile. Désolé.
Tiré du livre Les joies du Yiddish de Léo Rosten.
Oystèr: de l'hébreu ostar, trésor
Peut aussi être utilisé ironiquement, la preuve:
Spitzer, un vrai oystèr
Spitzer, qui vend des hot-dogs, est accosté par un ami:
- Comment vont les affaires?
- Pas trop mal, dit Spitzer. J'ai déjà mis de côté mille dollars à la banque.
- Dans ce cas, dit l'ami, peut-être pourrais-tu me prêter cinq dollars?
- Je ne suis pas autorisé.
- Qu'est-ce que tu veux dire par "pas autorisé"?
- Ecoute, j'ai passé un accord avec la banque en face. Ils sont d'accord pour ne pas vendre de hot-dogs; et moi, j'ai promis de ne pas prêtrer d'argent !
