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Fusion,
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30 août 2006 3 30 /08 /août /2006 08:50
C'est bien pratique le réchauffement climatique: si votre voiture ne démarre pas, si votre vache a la langue bleue, si votre plan de basilic tire la tronche ou si votre chien pisse partout, c'est le réchauffement climatique. A ce sujet, je vous invite à lire un extrait d'article sur le site de la revue Fusion "Réchauffement : j'achète !" (cliquez ici) et aussi lire l'article de Marcel Leroux : Réchauffement global une imposture scientifique (cliquez ici).


"- Je me demande pourquoi la saison des ouragans a été si tranquille.
 - Je pense que c'est le réchauffement global."
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commentaires

K
Merci Jean-Gabriel pour ces éclaircissements!Kévin
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J
Erratum:contrairement à ce que j'affirme ci-dessus, Vernadski n'a pas été l'élève de Teilhard de Chardin. Plutôt, il est juste probable qu'ils se soient fréquentés lors de la présence de Vernadski à la Sorbonne.
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J
Et j'ajoute que vous avez le bonjour de Pangloss, sobriquet dont le Cynique Voltaire affubla sa caricature du grand Leibniz dans son Candide détestable.Le meilleur des mondes possibles, c'est le nôtre, car c'est celui-là qui offre à l'homme les plus nombreuses opportunités de se perfectionner et de perfectionner la nature.Jean-Gabriel Mahéo
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J
Cher monsieur,<br />  <br /> vos trois remarques ne sont ni fondées ni honnêtes, je confirme et je le prouve :<br />  <br /> 1°) "...qu'il a écrit cet article en 2003, avant un épisode caniculaire notable. Gageons qu'il a depuis remis en question la surmortalité (15.000 décès) constatée cet été là..."<br /> Les climatologues sérieux en général et même le GIEC n'ont jamais osé corréler un évènement météorologique local extrême à une tendance générale du climat planétaire, du moins jusqu'à cet automne. Les médias par contre ne se sont jamais gêné pour faire des parallèles excessifs, laissant ainsi la population en tirer des conclusions abusive. <br /> Marcel Leroux est un des climatologues les plus sérieux du moment, cet épisode caniculaire n'a eu aucune incidence sur sa théorie et ses hypothèses, car il n'était pas exceptionnel pour un climatologue et qu'il n'infirmait ni ne confirmait rien de nouveau. Quand à votre "gageons...", il frôle l'insulte.<br />  <br /> 2°) " l'article cite abondamment... M. Leroux ! C'est d'ailleurs l'auteur le plus cité : charité bien ordonnée commence par soi-même."<br /> La revue Fusion, qui a accueilli M. Leroux, a pour tradition d'offrir une tribune aux chercheurs sérieux dont les hypothèses et les théories sont rejetées par la science officielle, en général pour cause de choc frontal épistémologique et/ou méthodologique. <br /> Quand un homme présente ses idées, quoi d'étonnant à ce qu'il cite les travaux et les ouvrages qui les étayent ? Là aussi votre sous-entendu (orgueil, mégalomanie) est malhonnête et infondé. Ou alors, il correspond à tous les scientifiques qui ont effectivement révolutionné la science : Ils ne pouvaient citer personne en appui à leur thèse puisqu'ils en étaient les inventeurs !<br />  <br /> 3°) " M. Leroux, qui a bien sûr le droit le plus strict..."<br /> Premièrement, M. Leroux n'est écarté de nulle part et est édité par les plus grandes maisons d'éditions. Il est membre de plusieurs instituts ou associations sérieuses et est initiateur ou co-auteur de manifestations importantes, ne vous en déplaise. Un peu de "googlisme" ne nuit pas, cher monsieur. <br /> Secondement, bien qu'avouant - quelle ironie - ne pas pouvoir vous permettre de juger sur le fond les thèses de M. Leroux, vous ne vous gênez pas pour déclarer qu'elles sont rejetées parce que M. Leroux est véhément, péremptoire et critique et qu'ainsi il se décrédibilise. En êtes-vous sur ? Et puisque vous semblez suivre l'actualité de M. Leroux, ne vaudrait-il pas mieux pour le sérieux de vos interventions que vous vous penchassiez sur sa thèse, afin de mieux estimer la raison du rejet de celles-ci par certaines tours d’ivoires ?<br />  <br /> Et enfin, votre conclusion est formulée de manière à faire comprendre que même l'administration Bush (la plus grande puissance du monde, n'est-ce pas ?) n'a pas réussi à décrédibiliser les bases scientifiques du GIEC (c'est donc bien la preuve qu'elles sont fondées, n'est-ce pas ?). C'est une manœuvre risible, et là encore vous n'abordez pas les questions de fond.<br /> Comme je vous l'ai écris, "Le GIEC est, hors de Washington aussi, une source de scandale et de honte pour la science expérimentale. Le dorénavant fameux épisode de la "crosse de hockey " tirée de statistiques malaxées est célèbre. Mais la vérité des positions du GIEC ne réside pas dans leurs validités scientifiques, mais dans la puissance du relai médiatique international dont il bénéficie, et de la formation postindustrielle malthusienne de nos élites dirigeantes." Voici des faits très facile à vérifier. <br />  <br /> Dans votre réponse à mes remarques, vous déclarez "Et, sauf votre respect, j'ai trouvé que le ton général et celui de l'article en particulier, étaient au moins autant polémiques que scientifiques. Bien sûr, l'histoire de la science est remplie de polémiques. Mais une confrontation dépassionnée me semble bien plus fructueuse pour faire avancer la science, donc je n'irai pas fouiller plus loin dans les "réponses" possibles de Fusion à mes remarques." <br /> Mais, cher monsieur, sans combat, pas de victoire. Les découvreurs ont toujours eu comme obstacle le mur du dogme et du préjugé, construit avec des briques d'idées mortes et fossilisées, et qu'il faut abattre avec une ironie féroce sans quoi point de progrès pour le genre humain. les Lavoisier, Gauss, Ampère, Fresnel, Riemann, Einstein, les Curie, Gödel et tant d'autres n'ont pas rechigné à cette joie du combat pour la vérité, car le refuser revenait à trahir le droit universel de l'humanité à la vie, la liberté et à la recherche du bonheur. Je ne peux que vous inciter vivement à lire leurs écrits pour vous en convaincre.<br /> Bref, votre appel à un débat dépassionné revient à tenter de négocier son passage avec un mur.<br />  <br /> Et pour finir, vous n'avez bien sur absolument pas réagi à ceci : "Hors rouleau compresseur médiatique, il n'en demeure pas moins que le rôle du CO2 dans l'effet de serre de la biosphère terrestre est infinitésimal en comparaison de celui de la vapeur d'eau,..." ce qui est un fait scientifique incontournable. C'est pourtant le fond du débat : le rôle des "gaz à effets de serre d'origine anthropiques" dans la biosphère est marginal, infinitésimal, négligeable, et cela de plusieurs ordres de grandeur. Et bien qu'il soit tout autant ridicule de nier qu'il existe, PERSONNE - GIEC compris - n'a jamais pu trouver un quelconque moyen de le mesurer dans des marges raisonnables de certitude. Mais il y a de l'argent à prendre, des budgets énormes sont alloués. Alors on invente des scénarios, on créé des modèles, et on laisse les médias leur donner le statut de vérité populaire.<br />  <br /> Quel est le rôle de cette fraude, puisqu'elle n'a aucun intérêt scientifique ? C'est ici que l'on rentre dans le politique et le stratégique. C'est ici qu'intervient "la formation postindustrielle malthusienne de nos élites dirigeantes." Mais brisons-là, nous sortirions du sujet.<br />  <br /> Un autre aspect de fond de la question des "gaz à effets de serre d'origine anthropique" est la question du cycle du CO2. De l'ensemble du CO2 en circulation dans la biosphère, seule la minuscule partie produite par l'humanité est accusée de causer le réchauffement par effet de serre. Ce qui revient à dire qu'il s'accumule dans l'atmosphère, et que le cycle global du CO2 refuse de l'admettre dans ses processus. <br /> Et pourtant, savez-vous que l'ensemble de la masse végétale de la planète (dont l'essentiel se trouve dans les océans) se nourrit essentiellement de deux molécules, H2O et CO2, qu'elle combine en hydrate de carbone grâce au rayonnement solaire par le moyen des chloroplastes ? Et que c'est cette action qui est la principale cause du mouvement du carbone dans la biosphère ? Que c'est aussi cette action qui garantit pour toutes les espèces vivantes la présence stable et suffisante d'oxygène libre ? Quoi, le CO2 produit par l'homme serait refusé par ce cycle ? Les plantes et algues bouderaient-elles notre CO2 ? Il ne semble pas, puisque les établissements maraîchers en diffusent dans leurs serres pour aider leurs produits à construire leurs fibres.<br /> Ici, je vous conseille de consulter les travaux de Vladimir Vernadski, scientifique russe élève de Teilhard de Chardin et créateur de la discipline de la bio-géo-chimie, qui a étudié l'efficacité comparée des processus physico-chimique, biologique et noétique sur les vitesses de migrations atomiques à l'échelle de la biosphère.<br />  <br /> Je souscris bien entendu à votre conclusion : « oui au développement (y compris civique, médical, éducatif, démocratique), non à la décroissance et à la croissance bête, oui à la croissance intelligente. » Mais parlons-nous le même langage ?<br />  <br /> En conclusion, puisque vous affirmez être anti-malthusien et que vous n'appréciez pas le concept actuel de "croissance", je vous invite à aller au fond du sujet et à le situer dans le contexte historique.<br /> Les conséquences de la fraude du réchauffement ainsi que d'autres folies des écologistes publicisés, marchant de concert avec les théories économiques libérales les plus stupides et brutales et les principes politiques les plus arriérés, pourraient bien constituer la plus grande menace actuelle à l'existence de la civilisation humaine, et par conséquent à la biosphère dans son ensemble.<br />  <br /> Jean-Gabriel Mahéo
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K
OK, bien reçu!
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